1 mars 1999

NOS CAMARADES ET LES AUTRES.



NOS CAMARADES ET LES AUTRES.
Cette chronique est destinée au "courrier des lecteurs", lettres et suggestions trouveront à cette page leurs réponses. Elle est ouverte à tous, qu’ils soient d’origine normande ou non, qu’ils nous suivent ou qu’ils nous repoussent, qu’ils travaillent ou qu’ils dorment.
Il ne s’agit pas de belles polémiques ni de savantes joutes oratoires mais d’une confrontation, d’un échange, d’un espoir...
Il y a quelques mois nous écrivions à Jean de LA VARENDE pour lui faire part de notre désir d’action normande et il nous encourageait en ces termes :
"...Je sens le frémissement de vos aînés, mes petits, je voudrais que la mienne en prit l’essor mais je gis le ventre fendu, les reins hurlants, cinq opérations en un an m’ont rompu. Je travaille quand même cramponné à la machine et en m’étendant toutes les heures. Je ne suis pas vaincu car la défaite ne viendra qu’avec la mort mais je suis blessé ‑ et pourtant de telles splendeurs sont là qui attendent ‑ et de tels êtres".
Et la VARENDE, le seigneur de Pays d’Ouche, l’historien et le romancier de la Normandie termine par cette phrase où nous voyons le symbole de notre lutte et de notre espoir:
LE LEOPARD PORTE LA FLECHE