NOS CAMARADES
ET LES AUTRES.
Cette chronique
est destinée au "courrier des lecteurs", lettres et suggestions
trouveront à cette page leurs réponses. Elle est ouverte à tous, qu’ils soient
d’origine normande ou non, qu’ils nous suivent ou qu’ils nous repoussent,
qu’ils travaillent ou qu’ils dorment.
Il ne
s’agit pas de belles polémiques ni de savantes joutes oratoires mais d’une
confrontation, d’un échange, d’un espoir...
Il y a
quelques mois nous écrivions à Jean de LA VARENDE pour lui faire part de notre
désir d’action normande et il nous encourageait en ces termes :
"...Je
sens le frémissement de vos aînés, mes petits, je voudrais que la mienne en
prit l’essor mais je gis le ventre fendu, les reins hurlants, cinq opérations
en un an m’ont rompu. Je travaille quand même cramponné à la machine et en
m’étendant toutes les heures. Je ne suis pas vaincu car la défaite ne viendra
qu’avec la mort mais je suis blessé ‑ et pourtant de telles splendeurs sont là
qui attendent ‑ et de tels êtres".
Et la
VARENDE, le seigneur de Pays d’Ouche, l’historien et le romancier de la
Normandie termine par cette phrase où nous voyons le symbole de notre lutte et
de notre espoir:
LE LEOPARD
PORTE LA FLECHE